Nigadona teny Ivato, afakomaly alina, ny manampahaizana amin’ny resaka bozaka, avy amin’ny Caf. Nafaran’ny filohan’ny Federasionina malagasin’ny baolina kitra (FMF), Randriamanampisoa Alfred, manokana.

Hiala nenina! Tsy kivy mi­tady vahaolana ho an’ ny fanamboarana ny Kianja Barea Mahamasina ny Federasionina malagasin’ny baolina kitra (FMF). Araka ny loharanom-baovao iray eo anivon’ny FMF, omaly, efa tonga eto an-toerana ny manampahaizana momba ny bozaka avy amin’ny Caf, izay nafaran’ ny filohan’ny FMF, Randriama­nampisoa Alfred.
Raha ny fantatra, dia ha­haritra telo andro eo ny fandalovan’ity manampahaizana ity eto an-toerana.

Nilaza ny lehiben’ny bao­lina kitra malagasy eto an-toerana, fa rehefa vita tanteraka ny fiofanana sy ny fitsirihana hataony eto, hiala eto Mada­gasikara indray izy, ary hive­rina eto an-tandrizana ny vo­lana mey ho avy io. Natao izao hetsika izao hahafahan’ny Kianja Barea Mahamasina handray lalao iraisam-pire­nena.
Ankoatra izay, mbola mi­andry ilay fampanantenana nataon’ny Fifa sy ny Caf ny Malagasy mpankafy baolina kitra maro, mahakasika ilay resaka fanamboarana fotodrafitrasa eto an-toerana. Anisan’ izany ny fanavaozana ny Kianja Rabemananjara sy ny fananganana ivontoeram-piofanana any Mahajanga.
Toeran’ny mpanao gazety

Ny bozaka ihany no lasa laharam-pahamehana ho an’ny tomponandraikitry ny Kianja eto Madagasikara. Tsy mbola nasiana resaka kosa ny fanatsarana ny toeran’ny mpanao gazety izay tsiahivina ihany fa ao anatin’ilay takin’
ny Caf. Raha ny tazana teny amin’ny Kianja Barea nandritra ny lalao “Match de Gala”, ny 26 marsa lasa teo, toa la­basy moderina natao hialokalofana no nataon’izy ireo teny an-toerana, fa tsy misy ny fanavahana araka ny fepetra napetraky ny Caf.

F. R

“Very tanteraka ny hasina sy soatoavina eo amin’ny samy Malagasy ankehitriny”, hoy Randriambao Edmond, mpiasan’ny Fahasalamana efa misotro ronono. Mananika ny faha-90 taona izy ankehitriny. Tsy misy intsony ny fifampitsinjovana sy fandalinana ny maha iray tampo amin’izao fotoana, raha ny fanazavany. «Mifanary velon’aina, eny misy hatramin’ny tsy mifandevi-maty isika noho io fahasimban’ny kolontsaintsika io », hoy izy. Voazarazaran’ny fitiavam-bola, voninahitra hatramin’ny harena ny ankamaroan’ny Malagasy ka lasa manao tsinontsinona ny nahitana masoandro aza, araka ny fanamafisany. « Tsy nahazo nandevina ny rahalahiko izay mpiray tampo amiko akory aho. Voahilikilika ny fianakaviana fa ny zanany ihany no nikarakara azy », hoy ity raim-pianakaviana ity izay namoy ny kambana aminy ny volana marsa lasa teo. Tsy nisy fifamaliana, saingy heveriny ho toy ny fanitsakitsahana ny maha Malagasy izany. “Ny Malagasy izay tsy miady amim-paty”. « Aiza ho aiza ny fihavanana, ny firaisankina izay niombonan’ny Malagasy fahiny », hoy ity raim-pianakaviana ity.

Tsiferana R.

Nommés lors du Conseil des ministres du 26 mars dernier, le Premier Président près la cour d’Appel (PPCA) de Toamasina, Jean Yves Rakotomanana, et celui de Mahajanga, Barijaofetra Emmanuel Ramananjara ont prêté serment lundi dernier à la Cour Suprême Anosy. La cérémonie a été honorée par la présence du ministre de la Justice, Benjamin Ra­kotomandimby, et celui des Forces Armées, le Général Lala Monja Delphin Sahi­velo. La cérémonie d’intronisation se tiendra ultérieurement.
Par ailleurs, le ministère de la Justice a procédé hier à l’assainissement du Tribunal de Première Instance (TPI) Anosy dans le cadre de la tenue du Sommet de la Com­mission de l’océan In­dien (COI). «Ce geste démontre la solidarité du Gouver­nement dans les actions pour Madagascar», rapporte le communiqué du ministère.

T.N

La petite manifestation de quelques membres de l’opposition devant l’ambassade de Madagascar à Paris a été condamnée par la diaspora malgache sur place. Face aux mensonges et manipulations des individus, la diaspora a également remercié le personnel de l’ambassade qui a fait preuve de calme et de retenue.
La diaspora malgache en Europe a aussi réagi dans un communiqué face aux événements de mardi dernier. En effet, 8 individus se disant représentants de la diaspora se sont rendus devant l’ambassade de Madagascar à Paris pour demander une audience auprès de l’ambassadeur. Parmi eux, des anciens ministres et activistes dans le camp de l’opposition. Une fois sur place, ces derniers ont filmé leur venue tout indiquant avoir franchi le barrage de l’ambassade. «La diaspora condamne fermement toute diffusion de fausses nouvelles et mensonges perpétrée par ces individus minoritaires qui n’ont de cesse de s’opposer au régime actuel», a indiqué la diaspora regroupant des associations, partis politiques et simples citoyens malgaches, résidant dans toute l’Europe. Ces derniers ont fait savoir que les individus qui se sont déplacés à l’ambassade ne peuvent pas prétendre «représenter la diaspora malgache».

D’autre part, «Nous saluons l’attitude adoptée par le personnel de l’ambassade, qui a agi dans le total respect», poursuit le communiqué.
Le groupement de la diaspora en Europe estime de ce fait qu’il faut continuer de soutenir le Président de la République dans ses divers projets de développement du pays. Cela particulièrement en cette période où Madagascar accueillera le sommet de la Commission de l’océan Indien (COI) le 24 avril et celui de la Sadc au mois d’août prochain. Pour les ressortissants malgaches en Europe, il s’agit tout simplement d’une «victoire diplomatique».

T.N

Dans une lettre d’information Tady avril 2025, l’Ambassadeur de France à Madagascar, Arnaud Guillois, a avancé que le projet Tady (Tantsoroka ho an’ny Diaspora) incarne l’ambition de la France de renforcer les liens d’amitié avec Madagascar pour encourager son développement économique. Ce programme, fruit de la coopération franco-malgache, consolide la coopération bilatérale entre les deux pays.

La diaspora malgache en France et dans les départements français est considérée comme un acteur essentiel dans le dialogue entre les deux nations. Selon ses propos, les Mal­gaches à l’étranger contribuent au rayonnement de leur pays d’origine, qu’il s’agisse d’étudiants ou de travailleurs. Leur engagement en tant que volontaires, partageant leurs compétences et expertise dans des initiatives solidaires, est important pour le bien-être des populations malgaches, a-t-il continué. Arnaud Guillois a réaffirmé le soutien indéfectible de la France à cette mobilisation, appelant la diaspora à bâtir des ponts solides entre les deux nations. «C’est avec un grand plaisir que je m’adresse à vous aujourd’hui dans un premier numéro de la newsletter du projet Tady. Depuis toujours, la France est un terre d’accueil et d’opportunités pour nos amis malgaches, qu’il s’agisse des étudiants allant se former en France ou des travailleurs en­gagés qui, par leurs efforts, contribuent au rayonnement de leur pays d’origine», in­dique l’ambassadeur dans la lettre d’information

Un financement de 7 millions d’euros pour 4 ans

Le projet Tady bénéficie d’un financement de 7 mil­lions d’euros sur quatre ans (2023-2027), destiné à transformer les aspirations de la diaspora en actions concrètes. Il s’inscrit dans la mise en œuvre de la Lettre de politique nationale d’en­gagement de la diaspora (LPNED), adoptée en 2019, rappelle la ministre des Affaires étrangères Rasata Rafaravavitafika dans cette même lettre d’information. La gestion et le suivi du projet sont assurés par Expertise France, avec l’appui de l’Institut de recherche pour le développement (IRD) et de l’Organisation internationale pour les migrations (OIM). La cheffe de la diplomatie malgache a souligné que Madagascar avance et que la diaspora en est un moteur essentiel. Le projet Tady vise à renforcer la collaboration entre la diaspora, les Organisations de la société civile (OSC), les Collecti­vités territoriales décentralisées (CTD) et les citoyens à Madagascar. A noter qu’une lettre d’information régulière, publiée tous les deux mois, partagera les progrès, les défis et les réussites du projet pour informer l’impact réel de la diaspora dans le développement local.

F.M

Sous le thème « Sécurité et souveraineté alimentaires pour le développement du marché de l’Indianocéanie », le 5e Sommet des Chefs d’Etat et de gouvernement de la Commission de l’océan Indien (COI) est prévu se tenir le 24 avril à Antananarivo. Cet événement implique directement le ministère de la Décentralisation et de l’aménagement du territoire (MDAT), car la sécurité alimentaire repose sur une planification rigoureuse de l’occupation des sols, un aménagement durable des zones agricoles et un développement équilibré des territoires.

Les collectivités territoriales jouent un rôle essentiel dans la gestion foncière, le développement des infrastructures de proximité, les marchés ruraux et les initiatives agricoles locales. Ce sommet offre une opportunité stratégique de renforcer la coopération régionale, d’échanger sur les bonnes pratiques et de valoriser les efforts entrepris pour une gouvernance territoriale adaptée aux enjeux actuels. L’aménage­ment du territoire est un levier pour répondre aux défis alimentaires, climatiques et socio-économiques. Il constitue un socle essentiel pour une croissance durable, inclusive et résiliente. En effet, le développement commence au niveau local, et les territoires sont les premiers concernés par les politiques de sécurité alimentaire.
Les préparatifs pour ce sommet avancent, et le MDAT est pleinement engagé dans cette dynamique, en tant qu’acteur clé pour une planification territoriale efficace et une gouvernance locale renforcée car chaque territoire compte.

F.M

Analakely reprend le cours normal des choses. Presque rien n’a changé depuis le début de semaine où les marchands des rues d’Analakely devaient plier bagage. Après deux jours de bras de fer avec la Commune urbaine d’Antananarivo, les marchands reprennent leur place avec peut-être un peu moins de place que d’habitude. Mais au moins ils sont toujours là. La CUA a cédé face aux revendications malgré ses projets. Il sera encore loin le temps où le centre-ville reprendra ses droits pour redevenir une place organisée.
Mais pourquoi donc ces marchands s’acharnent-ils à rester sur place ? Parce que, semble-t-il, les clients ne les voient pas. La logique serait peut-être que les clients rejoignent les marchands. Si ces derniers vont ailleurs, les clients les chercheront forcément. Les supermarchés restent bien bondés alors que certains clients doivent y faire des kilomètres pour s’y rendre.
Mais aussi, les lois ne sont-elles pas faites pour être respectées ? Personne n’est au-dessus des lois. Malheureusement certains semblent l’avoir oublié et profitent de leur situation pour jouer avec les sentiments. Trop de sentiment tue pourtant. Il est difficile d’avancer si on s’attarde sur l’apitoiement. Les revoilà, plus forts que jamais, de retour sur leur place habituel, leur place de pouvoir, intouchable, inamovible, tels des élus à forte majorité.
Les trottoirs ne sont-ils pas pour les piétons ? La route pour les automobiles ? Et les marchés pour les marchands. Les mélanger ne ferait qu’augmenter les embouteillages dans la ville. Pendant ce temps, les étales des marchés restent vides, tout simplement parce que les marchands boudent dans la rue.

T.N

Notehirizina am-pitandremana mba tsy ho faty eny anivon’ny tokantrano tsirairay avy izy io nandritra ny alina tontolo, mandra-piposahan’ny masoandro, ny ma­rain’ny taombaovao, ny alahady lasa teo. Nahitana fizarana izany avokoa ny vohitra rehetra teto amin’ny Nosy. Anisan’ izany ny teny amin’ny Rovan’i Manjakamiadana, ny Rovan’ Ambohidratrimo sy ny maro hafa. «Fomba amam-panao efa tamin’ny andron’ny faha mpanjaka izy io, ary atao rehefa fotoana famaranana ny taona sy hitsenana ny taona vaovao», hoy ny Maitre Victorio, filohan’ny fikambanana Malagasy iray hasina (Maiha). Tanjona ny mba hiainan’ny tsirairay eo anivon’ny tokantrano ny hazavana sy hafaliana entin’ny afo tsy maty mandritra ny taona ho avy iray manontolo. Ho an’ireo olona mitahiry ny hazavana dia mbola hiaina tanteraka ao anatin’izay izy ireo mandritra ny taona ho avy. Endriky ny fahavelomana, fitahiana, fi­tsimbininana tsy misy fiafarana ny afo tsy maty. Handraisana fitahiana sy fiarovana ary mba ho fanilo handroaka ny ratsy sy ny haizina rehetra. Namba­rany fa tsy misy finoana izany fa fomba amam-panao eo amin’ny Malagasy. Rehefa mifankahita sy tarafin’ny hazavana ny ao an-tokantrano dia tsy hisy hery ratsy hanatona sy hanakorontana amin’ny taona ho avy. “Tsy nandalo haizina ny olona manana afo tsy maty rehefa tonga ny taona vaovao”, hoy hatrany izy nanazava. Hianoka ao anaty hazavana sy hasambarana ny rehetra manana io afo io eo anivon’ny tokantranony.

Taombaovao nisantarana
ny mamy

Ankoatra izay, afaka nisantatra ny hafaliana sy ny tsara indrindra ny olona nitahiry izany tamin’ny fiantombohan’ny afo tsy maty. Nambarany fa ao anatin’ny tokantrano no ahitana ny mamy sy mangidy rehetra, izay toerana masina indrindra eo amin’ny zanak’olombelona tsirairay. Noho izany, tsara ny handrehetana ny afo sy ny jiro ao an-tokantrano mba hazava ny tokantrano. Tahaka izay koa ny hisantarana ny tsara sy mamy in­drindra rehefa taombaovao. “Nisantarana izany ny vary amin-dronono tondrahan-tantely, raha tiana ny hiaina fahasambarana mandritra ny taona”, hoy hatrany izy nanazava. Ny vary no anjaran’ny tany izay hitsahan’ny olona. I Madagasikara ihany koa no nanome vary hohanintsika ka tsara ny hihinana ny vary. Mba ho marika fa tsy ho foana vary mihitsy ny olona. Faharoa, ny ronono, endriky ny fitohizam-pahavelomana. Izay zaza teraka ka tsy nisotro ronono dia naman’ny tsy velona, raha ny fanazavana hatrany. Noho izany, misotro ronono isika mba ho ela velona eto ambonin’ny tany. Fahatelo ny tantely, endriky ny fankatoavana ny fahavelomana. “Mba tsy ho sendra ny mangidy tsy telina anie ny olombelona amin’ny taona vaovao hodiavina, antony hihinana ny tantely”, hoy izy nanambara. Nolazainy fa tsara raha ny vary amin-dronono tondrahan-tantely no hohanina amin’ny fiantombohan’ny taona vaovao. Tanjona ny mba ho ela velona, sy ho sambatra ary hiadam-pinaritra eto ambonin’ny tany ny vahoaka ma­lagasy.

Ilaina ny manome lanja ny kolontsaina malagasy

Tonga nanotrona ny fizarana ny afo tsy maty teny an-toerana ihany koa ny filohan’ny Oniversiten’Antananarivo, vao voafidy. “Ilaina ny mifanotrona sy mifanome lanja ny hasin’ny fomba amam-panaon’ny tena”, hoy ny filohan’ny Oniversite, Randrianasolo Rivoarison, raha nanontaniana teny an-toerana. Nambarany fa ny an’ny hafa aza hankalazaina, toy ny voalohan’ny volana janoary sy ny fetin’ny silamo ary ny maro hafa. Samy manana ny fomba fijeriny sy ny daty arosony ny mpandala ny fomban-drazana. Tsara hatrany ny manome hasina azy ireny avy amin’ny maha Malagasy ny tena sy amin’ny olon’ny fiarahamonina ihany koa, raha ny nambarany. “Misy kolontsaina ao anatiny ary amin’ny maha iray ny Malagasy rehetra no hitondrana sy hanomezan-danja ny fomba”, hoy izy.

Afaka mankalaza ny rehetra

Tonga nanotrona ny lanonana fizarana afo tsy maty teny amin’ny vohitr’Ambohidratrimo ihany koa ny solombavambahoaka voafidy tany amin’ny disitrikan’Arivonimamo, ny sabo-tsy faran’ny taona teo. “Tsy finoana fa fomba ny fankalazana ny taombaovao malagasy ary entanina ny rehetra hankalaza izany”, hoy Rajerison Antoine, depioten’Arivonimamo sady filohan’ny antoko Fivoi. Afaka mankalaza izany avokoa ny rehetra, eny fa na hatramin’ny fiangonana aza, toy ny fanaovana vavaka mandritra ny sasakalina hitsenana ny taona vaovao vahiny, izay manaraka ny tetiandro gregoriana, raha ny nambarany hatrany.

Tsy mahaleo tena i Madagasikara

Ankoatra izay, nanisy resaka momba ny fahatsiarovana ny fankalazana ny 29 marsa ihany koa ny tenany. Namba­rany fa tsy mbola mahaleo tena i Madagasikara raha jerena ny zava-misy. Voakasik’izany avokoa na ny ara-bary, na ara-bola, ara-ekonomia, ara-tsosialy sy ny maro hafa. Mampa­lahelo ny mieritreritra ny fitokanana sy ny fahatsiarovana ny havana maty nitolona tamin’izany andro izany. Betsaka ny zavatra tokony hatao raha te hahaleo tena isika. Anisan’izany ny fanenana ny fanafarana vokatra avy any ivelany. Jerena ny zavatra tokony hatao mba hampanan-karena ny vahoaka malagasy amin’ny alalan’ny fitrandrahana ny harena voajanahary eto amin’ny firenena.

Nanatontosa : Mino

Nokendren’ny orinasa MVola manokana ny tanora sy ny ankizy mahakasika ny fanabeazana ara-bola, nandritra ny hetsika Herinandron’ny vola na « Global Money Week » (GMW), natao ny 18 hatramin’ny 23 marsa teo. Anisan’ny nandray anjara tamin’ny atrikasa ny fikambanana Maison des Enfants Vasakosy sy ny mpianatry ny EPP Sabotsy Namehana. Nampi­anarina tamin’ny fomba tsotra, amin’ny alalan’ny kilalao, ny fomba fitantanam-bola, miaraka amin’ny fampiharana sy fifanakalozana mivantana. Nazava tsara tamin’ny ankizy avy eo ny maha samy hafa ny atao hoe « faniriana » sy ny « filana ». Teo koa ny fahalalana fototra mahakasika ny fitahirizam-bola (épargne) sy ny tena lanjan’ny vola.
Ankoatra izany, miara-miasa ny Foibe mpandrindra nasionaly ny fanabeazana ara-bola (CNFI) sy ny Lycée Andohalo. Nampahafantarina ny tanora ny pitsopitsony ny MVola, ny fiasan’ny banky niomerika, ny teknolojia niomerika ara-bola, lasa manova ny andavanandron’ny Malagasy, ankehitriny.

Njaka A.

Nifarana ny zoma 28 marsa teo ny fanofanana Tonian-dahatsoratra andiany faharoa nokarakarain’ny « Actions médias francophone internationale » na AMFI, sy ny « Groupement des éditeurs de la presse d’information multimédia de Madagas­car » (Gepimm) tetsy Antani­mena. Notarihin’i Thierry Olivier. Niompana manokana tamin’ny fandalinana ny asan’ ny tonian-dahatsoratra eo amin’ny asa fanaovan-gazety izany. Nandalina ireo fitaovana tokony ho fehezin’ny tsirairay momba io asa io ny mpandray anjara. Tanjon’ny fampiofanana ny hampiroborobo ny gazety an-tsoratra na eo aza ny fihazakazaky ny teknolojia. Nofanina mano­kana ireo mpandray anjara dimy mianadahy, avy amin’ny orinasa an-gazety samihafa, hifehy tanteraka ny laha­tsoratra avoaka, ary hahavita hikirakira izany ho tonga gazety ho an’ny mpamaky. “Naha­zoako tombony satria nanampy ny traikefa kely
efa nananako ny fanarahana ny fiofanana”, hoy i Tsiferana Randriatiana, mpanao
ga­ze­ty anisan’ny nandray anjara. Tsiahivina, efa nisy andiany voalohany ity fiofanana nokarakarain’ny Gepimm ity.

Tsiferana R.

Natolotry ny Fondation Hiroshi Uchida-Daiho, ny alatsinainy 31 marsa teo, ny vatsim-pianarana ho an’ny mpianatra miisa dimy. Nampiavaka ny tamin’ity taona ity, lasa dimy ny mpisitraka raha 3 teo aloha, sady nampiakarina ho 1 500 000 Ar ny vatsim-pianarana, raha 1 000 000 Ar tamin’ny taon-dasa. Izay mpianatra mendrika no anisan’ny masontsivana hisafidianana ny misitraka ny vatsiam-pianarana. Izy dimy mirahalahy dia mandranto fianarana eny amin’ny Sekoly Polyteknika ESPA Antananarivo, IST Antananarivo, ISPM Antananarivo, Oniversite Polyteknika ESP Antsiranana ary Oniversite Toliara, sampam-pianarana Ekolojia sy Tontolo iainana.
Miisa 252 ny mpianatra efa nahazo vatsiam-pianarana, mi­tentina maherin’ny 13 tapitrisa Ar, avy amin’ny Hiroshi Uchida-Daiho, hatramin’ny taona 1997. Nampitomboina ho 5 ny mpianatra nisitraka azy nanomboka ny taona 2019, raha telo tany aloha.
Nambaran’ny masoivoho japoney miasa eto amintsika, Abe Koji, fa tsy ataon’i Japana ambanin-javatra ny fanabeazana, an­koatra ny fiaraha-miasa amin’ny fampandrosoana ara-toekarena.

Njaka A.

Madagascar s’appuie sur l’expertise congolaise pour le 45e Sommet des chefs d’Etat et de gouvernement de la Sadc. La Grande île a entamé une rencontre avec la République démocratique du Congo (RDC) pour optimiser l’organisation de cet événement de haut niveau.

Une récente rencontre entre les ministres des Affaires étrangères et de l’Intégration régionale des deux pays a permis de capitaliser sur l’expérience de la RDC, hôte du 42e sommet de la Sadc en 2022.
Le ministre congolais Didier Mazenga Makanzu a partagé avec son homologue malgache Rasata Rafa­ra­vavitafika les bonnes pratiques et défis rencontrés lors de l’édition de 2022. Les discussions ont porté sur trois axes clés, notamment la logistique, la sécurité ainsi que le protocole en matière d’organisation des cérémonies officielles et in­teractions entre Etats membres. La ministre malgache a salué la disponibilité de la RDC à transmettre son savoir-faire, soulignant que cette collaboration renforce la solidarité régionale prônée par la Sadc.

Des préparatifs en marche depuis octobre 2024
Une mission d’appui de la Sadc a été déployée à Ma­da­gascar en octobre 2024 dans le cadre des préparatifs de ce Sommet. Une première réunion préparatoire a eu lieu à l’époque entre la délégation de l’organisation et le Secrétaire général du ministère des Affaires étrangères, Emi-Haulain Kola. Les échanges ont permis de définir les exigences techniques et administratives nécessaires au bon déroulement du sommet, notamment en matière de coordination interministérielle.
Ce sommet marque les 25 ans d’adhésion de Mada­gascar à la Sadc et coïncide avec l’entrée du pays dans la Troïka de l’organisation, aux côtés du Zimbabwe et de la RDC. La présidence malgache de la Sadc en 2025-2026, sous l’égide du président Andry Rajoelina, va faire entrer la Grande île dans une dynamique de retour en force sur la scène régionale, après des années de turbulences politiques. Des retombées économi­ques et diplomatiques sont attendues au cours de cet événement. Des projets d’infrastructures tels qu’un Centre de conférence international et d’un Palais des Congrès ont été prévus. De l’autre côté, les préparatifs du 5e Sommet de la Commis­sion de l’océan indien (COI) sont en plein effervescence suite à une récente mobilisation totale pour une organisation sans faille dans la capitale à travers les différents ministères.

F.M

Arrêté à Toliara le 26 mars à la suite de l’affaire « Base Toliara », le colonel Rodney Rehosy Fanampera a été déféré hier au Parquet d’Anosy. Le procès s’est tenu le même jour, l’ancien officier supérieur écope de 3 ans de prison avec sursis pour appel à manifester sans autorisation, vandalisme sur des biens publics, ou encore violence sur des forces de l’ordre.
A noter que le colonel Fanampera figure parmi les opposants à la reprise du projet « Base Toliara », notamment sur l’ouverture de la société. Ce dernier avait publié une vidéo sur les réseaux sociaux dénonçant l’exploitation avant d’être arrêté puis amené dans la capitale. Depuis son arrestation, les appels pour sa libération se sont succédé. Hier, un organisme international œuvrant dans l’environnement a également appelé à sa libération.

T.N

Moins d’une dizaine de ressortissants malgaches résident en France se sont donné rendez-vous à l’ambassade de Madagascar à Paris hier pour demander
une audience à l’ambassadeur. Attroupés devant le portail de l’ambassade, ces individus ont indiqué avoir forcé le barrage. Une information démentie par l’ambassade qui a vite condamné toute diffusion de fausses nouvelles.
Une vidéo a été diffusée sur les réseaux sociaux sur le déroulement des faits. Les personnages étaient entre autres des activistes contre le régime qui avait demandé à discuter avec l’ambassadeur sur la situation du pays. La lettre a été déposée selon la procédure en vigueur et les demandeurs devront attendre une réponse ultérieurement. Ces derniers ont ensuite été invités à quitter les lieux et non rester sur place. Durant leur attente, une vidéo a été enregistrée, prétextant que les activistes avaient franchi le barrage et ont pu accéder à l’ambassade, créant des troubles sur place. « Les activités de l’ambassade se sont déroulées dans le calme total sans le moindre dérangement », a indiqué le communiqué de l’ambassade paru hier, dénonçant les faits mensongers relatés par les opposants. « En tant que représentant de la République de Madagascar, l’ambassade condamne toute diffusion de fausses nouvelles et surtout toute manipulation incitant au trouble », a-t-il conclu.
Dans sa publication, la sénatrice Lalatiana Rakoton­drazafy a indiqué que des policiers français se sont rendus sur place pour demander aux individus de quitter les lieux.

T.N

L’Agence portuaire maritime et fluviale (APMF) au cœur d’un vaste réseau de corruption. Depuis 2021, les doléances se sont succédé auprès du Bureau indépendant anti-corruption (Bianco) concernant des recrutements frauduleux au sein de l’agence. L’implication du Direc­teur des ressources humaines (DRH) a été établie à l’issue des enquêtes menées.
Corruption, favoritisme et népotisme, voilà ce qu’ont révélé les enquêtes du Bianco concernant le dossier APMF. Le Bureau indépendant a en effet mis la main sur un vaste réseau de corruption sur des irrégularités flagrantes des procédures de recrutements au sein de l’APMF. « Les investigations entreprises ont notamment permis de déceler des conflits d’intérêts avérés entre un membre de la commission de recrutement et six employés nouvellement recrutés », a expliqué le Bianco dans son communiqué. Celles-ci ont constaté des incohérences dans les dossiers administratifs, les communications téléphoniques ainsi que les interactions sur les réseaux sociaux. Les investigations ont révélé l’implication de trois individus dont le DRH, et deux membres de sa famille proche. Déférés au Parquet du Pôle anti-corruption (Pac) les 25 et 31 mars derniers, le DRH et un membre de sa famille sont placés sous mandat de dépôt tandis que l’autre individu, également membre de sa famille, est placé sous contrôle judiciaire.
« Cette affaire met en lumière des pratiques de corruption qui ont gangrené l’APMF pendant près d’une décennie », a indiqué le Bianco. Néanmoins, les enquêtes sont en cours pour le processus de recrutement de 2024.

T.N

A Madagascar, comme ailleurs, manifester reste un moyen indispensable pour exprimer des revendications politiques ou sociales. Cette pratique, ancrée dans l’histoire du pays, amène à se demander comment concilier l’exercice de la liberté d’expression avec le respect des droits d’autrui ? Les récentes manifestations à Analakely (marchands de rue) ou Toliara (manifestation sur le projet Base Toliara), où des commerces ont fermé et la circulation perturbée.
Bien que légitimes dans leur essence, ces manifestations ont entravé d’autres droits tels que la circulation, activité économique ou sécurité. Ces situations révèlent un équilibre délicat. La liberté de manifester, corollaire de la liberté d’expression, est reconnue comme un droit fondamental par les textes internationaux et nationaux. Dans le pays, l’article 10 de la Constitution garantit ces libertés sous réserve du respect des libertés et droits d’autrui, et par l’impératif de sauvegarde de l’ordre public, de la dignité nationale et de la sécurité de l’Etat. Si les mots « peuvent sauver des vies », comme le soulignait Anna Politkovskaïa, une journaliste russe et militante des droits humains, ils peuvent aussi être portés par des canaux moins conflictuels.
Des demandes de réunions avec les autorités, des pétitions ou des débats publics permettent d’exprimer des revendications sans paralyser la vie collective. L’histoire malgache montre pourtant que les manifestations ont parfois été des catalyseurs de changements majeurs, rappelant leur rôle irremplaçable dans les crises politiques. La liberté d’expression, qu’elle s’exerce à travers des discours, des écrits ou des manifestations, exige une maîtrise des formes. A travers ceux-ci, les blocages disproportionnés seront évités. Il est préférable de privilégier le dialogue préalable, ou choisir des modes d’action non-violents. En fin de compte, l’expression collective ne doit pas devenir un outil de division, mais un pont vers des solutions partagées. Manifester reste un droit précieux, mais son exercice doit s’inscrire dans un équilibre où chaque liberté trouve sa place.

F.M

Nohavaozina herintaona indray ny fiaraha-miasa eo amin’ny 67 City FC sy ireo mpanohana azy, dia ny Havana Resort sy ny Nouvelle institution de microfinance (NIM Madagascar). Notante­rahina ny alakamisy lasa teo, tetsy Ambohidahy, ny fifanaovan-tsonia teo amin’ny telo tonta. Nanatanteraka izany, Andriantsima Faneva Ima, filohan’ny 67 City FC sy Harizaka Rakoto, avy amin’ny NIM ary Radida Harivola Je­remia, tale jeneralin’ny Ha­vana Resort. Notsiahivin’ny mpitantana ny klioba fa nanomboka ny taona 2022 ny fifanohanana sy ny fifanomezan-tanana ary ny fiaraha-miasa teo amin’izy ireo. Resy lahatra ireo mpanohana ireo fa matotra ny klioba ary nanaporofo izany ny fahamaroan’ireo kilonga beazina ao, ka nisy ireo efa lasa nila ravinahitra any ivelany.
Ankoatra izay, nambaran’i Faneva Ima fa zava-baovao ao anatin’ny fandaharanasan’ny 67 City FC ny hitiliana ireo ankizy mendrika sy mahay baolina sy fianarana ka afaka Bakalorea, ka homena vatsim-pianarana atsy La Réunion, ao amin’ny Club St Joseph. Raha toa ka tsy misy ao anatin’ny klioba izany dia hisokatra ho an’ny klioba hafa eto an-dRenivohitra. Ankoatra izay, nampahafantarina ihany koa ny fanamiana vaovaon’ny klioba izay mankalaza ny faha-10 taonany. Tsy havela handalo fotsiny izany tsingerin-taona izany fa hisy hetsika maroloko hanamarihana azy.

Fitia Randria

Any amin’ny ligin’Atsinanana indray no hanohy ny fampivondronana ho an’ny taranja karate do, ho fanomanana ny fiadiana ny ho tompondakan’i Afrika, hatao any Nizeria, ny volana jolay izao. Mikasa handefa atleta 20 ny federasionina kanefa miankina amin’ny haavo teknikan’ny mpikatroka izany.

Tontosa ny faran’ny herinandro teo, teny amin’ny Mining Business Center Ivato, ny fiadiana ny tompondakan’i Madagasikara, taranja Bodybuilding, na ny “Big Mada”. Nisongadina nandritra ny fifaninanana ireo atleta vao misandratra izay tena hita taratra fa manana ny maha izy azy tokoa.

Hisy ny fankalazana manetriketrika ny faha-45 taona niorenan’ny Kung Fu Wisa malagasy amin’ity taona ity. Ny 6 avrily izao no hanatanterahana izany, eny amin’ny CCI Ivato izay hanaovana ny lanonana fankalazana sy fahatsiarovana izany Andro lehibe izany. Ny taona 1980 no niorenan’ny taranja Kung Fu, raha ny tantara.

Hitohy rahampitso 2 avrily ny fampivondronana faharoa ireo mpilalao volley, sokajy vehivavy hisolo tena an’i Madagasikara amin’ny CJSOI hatao any Seychelles. Efa nanomboka ny 26 marsa teo ny fampivondronana voalohany ka ny mpilalao avy eto Analamanga no nanomboka izany.

Notanterahina tany Ampefy, ny alakamisy lasa teo, ny fivoriambe ara-potoan’ny Federasionina malagasin’ny baolina kitra (FMF). Nomen’ireo ligim-paritra 22 fankatoavana “quitus” zato isan-jato ny mpitantana eo anivon’ity rantsa-mangaika mitantana ny baolina kitra eto Madagasikara ity. Nahafa-po azy ireo ny tatitra ara-bola sy ny teknika ary ny tetikasa fampandrosoana ny baolina kitra eto Madagasikara nandritra ny taom-piasana 2024.

Ankoatra izay, zava-baovao ihany koa ny filazan’ny filohan’ny Federasiona, Andriamanampisoa Alfred, fa nofafan’ny Federasionina iraisam-pirenena (Fifa) ny famerana ny fampiasam-bola eo anivon’ny federasionina. Araka izany, afaka mampivoatra sy manatanteraka ireo tetikasa amin’ny fampiroboroboana ny baolina kitra eto Madagasikara ny komity mpanatanteraka. Tsy misy intsony mantsy ny famerana ny fampiasam-bola, manomboka izao. Hisy ny fanatsarana fiaraha-miasa amin’ireo ligim-paritra sy ny fotodrafitrasa, ny ivontoeram-piofanana any Carion sy ny any Mahajanga. Tsy adino koa ny fanafarana ireo bus be ho an’ny Barea de Madagascar.

Fitia Randria